LENA&AARON - il a le feu au cul ce poulet rôti... tout droit sorti du four ! Cococoteeeuh.
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LENA&AARON - il a le feu au cul ce poulet rôti... tout droit sorti du four ! Cococoteeeuh.


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Aaron H. Wordsworth
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le petit mot doux de Aaron H. Wordsworth qui boit son thé le Dim 11 Fév - 22:05 ► réponds-lui !

Tu n’avais pas vraiment l’impression que ta vie suivait un long fleuve tranquille. Tu n’as pas vraiment une vie compliqué. Tu n’as pas vraiment une vie facile. Tu sais bien que certains ont plus de soucis que toi. Tu sais que tu n’as pas à te plaindre. Pourtant ? Certains soirs, tu aimerais que tout soit vraiment plus simple. Tu avais passé la nuit à être de garde. Dormir à moitié éveillé dans la caserne. Tu pouvais être appelé à tout moment et tu détestais ce genre de nuit. Un réveil à la hâte ? C’est horrible et même pour toi qui dors peu la nuit. Tu allais pouvoir rentrer dans 20 minutes. Oui, 20 minutes. Dis comme ça, c’est rien du tout mais pour toi ? C’est énorme. Tu ne voyais plus le temps passer. Tu soupirais doucement. Réveillé depuis 3 minutes. Puis… Ouais, l’alerte retenti. N’incendie pas loin de la caserne. Tu te réveilles en sursaut et tu enfiles le reste de ta tenue. Ton regard se posant sur tes collègues. Vous partez directement sur les lieux. Ouais, vous êtes chauds. Euphémisme ? Un peu. Non mais en fait, tu es totalement épuisé. Tu ne t’es jamais senti autant fatigué. Non mais clairement. Tu fais bien ton boulot. Vraiment. Fatigué ou pas mais tu bailles au volant du camion de pompier. Une fois sur les lieux, vous allez entreprendre d’éteindre le feu. Tout se passe bien. Tu sors un peu avant tout de même, tu viens de sauver un enfant de 7 ans qui était coincé. Tes partenaires s’occupent des parents. Alors que tu portes la gamine, tu vois encore de loin ce visage. Tu le connais. Oui. Tu le connais même très bien. Enfin tu le reconnais. Ses cheveux bruns châtaigne. Ils te font tellement rêver. Tu ne veux simplement que te souvenir de leur parfum. Non mais t’es vraiment tordu, mon grand. Enfin bref, tu le vis bien. Tu t’arrêtes pendant trois secondes en la regardant. Tu rêves ? Tu n’en sais rien. Te voit-elle ? Tu n’en sais rien non plus. Tu déposes la gamine dans une ambulance après avoir continué ta mission. Tu la rassures en la maternant un peu avant que sa maman n’arrive pour s’en occuper. Tu retournes alors aussitôt vers cette femme. Tu veux simplement la retrouver. Tu veux savoir si elle est comme un oasis d’un désert sans eau. Elle est ton oasis. Quand tu étais bourré dans des bars, tu imaginais souvent qu’elle était là. Non mais c’était le barman à moitié bedonnant et poilu en fait. Tu te rapproches d’elle. Assez perdu. « Lena… », soufflais-tu simplement d’un ton… Enfin c’est la fatigue qui te fait voir cette femme. Ton soleil. Ton rayon de soleil. Eh ho mon gars… arrête d’être sucre, soit sel. Tu fronçais aussitôt un sourcil. « Mais qu’est-ce que tu fais là ? » demandais-tu aussitôt sans vraiment savoir si tu voulais la réponse. Tu savais que si elle revenait dans ta vie, tout allait basculer dans ta tête. Tu ne peux pas laisser ça arriver car quand tout bascule, ton addiction redevient un souci. Tu l’aimes et tu ignores si elle t’aime encore. Tu ne pourras jamais arrêter de l’aimer. T’es con quand même. Mais non c’est ton premier amour, elle aura toujours de l’importance. Puis bon, t’as assez de soucis comme ça ? Pas vraiment. T’en sais rien. Mais tu n’as pas le temps de trouver une réponse de sa part. Un des pompiers de ton équipe t’appelle. « J’arrive…, ne bouges pas… », soufflais-tu alors à la jeune femme en priant pour qu’elle ne soit pas un barman bedonnant car bon… t’en as un peu marre à force de dire aux barmans que tu les aimes. Tu te retournes. Tu l’écoutes et tu vas vers lui rapidement. Il te donne un compte rendu et dit ignorer d’où provient le feu. Il s’en va et tu retournes vers cette femme… sans savoir si elle est encore là. Tu as le nez plongeant dans tes papiers. Un carnet. « Dis… c’est toi qui a mis le feu ? », demandais-tu simplement. Non mais en fait… avec tout ça, tu n’as même pas réalisé que tu portais encore ton masque. A-t-elle au moins reconnue qui tu étais ? Tu n’étais même pas en costume élégant comme à ton habitude. Non, tu puais à cause des cendres et de la fumée. Tu sentais plus le poulet rôti que de l’after-shave.
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Magdalena Flores
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le petit mot doux de Magdalena Flores qui boit son thé le Mar 13 Fév - 15:24 ► réponds-lui !

« tu vas encore cracher dans mon plat, laisse ma cuisine tranquille. » tu peux pas t'empêcher de rire devant son air si sérieux, parfois elle te prends vraiment pas une ennemi, elle a des moments d'absence, la vieillesse qui lui joue des tours. Elle oublie de plus en plus, qui tu es, ce qu'elle fait ici sans son mari. « je suis sûre que le goût ne sera que meilleur. » dis-tu en mélangeant la sauce. Tu l'entends pester dans ton dos, t'es presque sûre qu'elle t'as même insulté en espagnol mais tu ne t'en formalise pas. Tout les mercredis, tu fini chez madame digby. Suela est une mama latine dans toute sa splendeur stéréotypé : un peu enrobé, toujours drapée de sa tunique fleurie, les années n'ont pas entamées la chaleur dans son regard, sauf quand elle pense a son défunt mari et elle a une forte tendance a la bougonnerie tout en souriant, comme si elle se moquait de vous constamment. Sa façon d'aimer, c'est en râlant. A ton arrivée a Londres avec ta fille, elle était venu frapper à ta porte pour se plaindre du bruit que vous faisiez et de l'horrible musique que vous écoutiez, elle avait exigé un que tu lui fasses un thé en dédommagement. Avec le recul, tu sais qu'elle voulait simplement rencontrer les nouvelles voisines. Vous avez mis du temps a réellement vous apprivoisez mais aujourd'hui, cinq ans plus tard, tu la considères presque comme une seconde mère – la tienne habitait si loin de toi maintenant -. t'as prit l'habitude de venir cuisiner chez elle tout les mercredis, l'entendre râler sur le bazar que tu mets dans sa cuisine et sur la sauce trop salée même si elle fini toujours son plat. Tu la guette du coin de l'oeil avancer lentement vers toi – son dos l'empêche d'être très vive désormais – et poser de la monnaie sur le plan de travail. « il y a plus de café. » elle fronce les sourcils, garde son air bougon mais son sourire de canaille prouve qu'elle cherche surtout à te titiller quand elle manque de politesse ostensiblement. « c'est bête pour vous. » « tu mériterais la fessée pour ton insolence jeune fille. » « touchez a mes fesses, suela, et c'est vous que je mouline pour faire du café. » tu pourrais décemment pas dire quel geste obsène elle t'a fait pour te répondre mais son sourire était si fripon que tu n'as fait que rire, retirant ton tablier pour enfiler ton gros pull -  a défaut d'être beau il tient chaud – et est trop grand pour toi. mais tu ne le quitterais pour rien au monde. « je reviens dans cinq minutes, évitez de mettre le feu a la cuisine. » dis-tu en éteignant les plaques, par sûreté. parce que suela est peut-être une mama latine dans toute sa splendeur mais le clichée de la femme qui sait bien cuisiner : c'est un mensonge. Elle pourrait faire brûler un plat de pâtes. Tu l'embrasses sur la joue en attrapant ton sac, elle fronce le nez l'air dégoûté mais ne peut pas s'empêcher de te regarder affectueusement. Tu frissonnes un peu, il fait froid ce soir et tu peux pas t'empêcher de prendre ton téléphone pour envoyer un message a ta fille, elle devait être chez une amie ce soir mais à son âge, tu te leurres pas, elle est sûrement dehors. Tu veux juste t'assurer qu'elle a penser a mettre une veste, c'est plus fort que toi tu as l'impression qu'elle reste le bébé que tu tenais dans tes bras il y a si longtemps, même en ayant conscience qu'elle est bien plus grande c'est toujours ta fille, la plus belle chose de ta vie. Elle te répond vite – comme toujours – une première fois pour te dire que oui, une autre pour te dire de la laisser tranquille. Impossible de te vexer pourtant, tu sais que si c'est pas toi qui lui envoie un message dans la soirée elle finie par le faire elle-même. Et tu sais que t'as de la chance d'être aussi proche de ta fille, que beaucoup de mère jalouserait votre relation si fusionnelle. Ça t'arrache un sourire quand tu passes la porte de l'épicerie, saluant david derrière sa caisse. Tu prends le temps de discuter un peu avec lui quand tu termine tes achats – juste le café de suela et des skittles pour toi, pure gourmandise – tu fais pas attention à l'heure, il se passe peut-être dix minutes, vingt ou plus tu sais pas, c'est ce que tu aimes dans ce quartier : tout le monde se connaît et s'apprécie, comme une famille recomposée. mais les sirènes attire finalement l'attention, y a de l'agitation dans la rue, et toi t'es scotchée par les flammes qui s'échappe, des pompiers qui s'agite. Ton pot de café dans la main, tu n'arrives pas a réagir promptement, t'es presque sûre que c'est l'appartement de suela qui est en proie aux flammes, t'es presque sûre que comme toujours, elle t'as pas écouté et t'es presque sûre que t'as mis trop de temps a aller chercher son café, qu'elle a oublié que tu revenais et qu'elle a mit le feu parce que t'étais pas là. Tu te sens comme une coupable qui regarde son méfait sans oser avouer que c'est sa faute quand une vois te tire de tes rêveries – ou peut-être que c'est toujours un rêve ? - parce que t'es sûre de reconnaître son timbre, il a hanté tes rêves pendant vingt ans, sa voix comme son visage. « Lena... qu'est-ce que tu fais là? » Tu te tournes vers lui seulement quand il demande ce que tu fais là, les yeux plissés, peut-être que tu es folle après tout, il porte un masque, t'es un peu sonnée et il y a du bruit dans la rue. Peut-être que tu vois juste ce que tu veux voir, mais t'es presque sûr de reconnaître les traits qui se cache derrière le masque. « j'arrive...ne bouge pas... » « aaron. » tu murmures mais il est déjà partit, te demandant de ne pas bouger, tu fixes l'homme, la chaleur qui afflux dans tes veines. oh. Mon. Dieu. Tu n'es pas du tout prête, non, vraiment pas. Evidemment, tu t'étais renseignée, tu sais qu'il était ici, t'attendais même de le croiser un jour par hasard et de feindre l'étonnement. « oh bah dis donc, quel hasard ! » mais pas comme ça, pas alors que l'appartement de suela est sûrement en train de brûler, que c'est le chaos dans la rue et que tu portes un pull difforme trop large pour toi. c'est puéril, mais tu sors ton gloss de ton sac a main pour t'en mettre rapidement avant qu'il revienne vers toi, l'air de rien. Comme si tu mettais souvent du gloss avec un vieux pull pour aller chercher du café a l'épicerie du coin. « Tu .. » tu t'apprêtes à parler alors qu'il revient, le nez dans ses papiers et qu'il te pose la question. « Dis...c'est toi qui a mis le feu? » t'es un peu perdue, il t'a visiblement reconnue et la première chose qu'il te demande c'est si t'as mis le feu ? Comme si c'était une conversation normal sur les événements, comme si ça faisait pas une quinzaine d'années que vous vous étiez pas vu. T'ouvres la bouche pour mieux la refermer, sourcil froncés, réfléchissant a ce que tu dois dire en premier. Tu pensais que ça serait plus facile de te retrouver face à lui mais tu n'étais peut-être pas prête. « non je … tu sais d'où il est parti ? Je crois que .. ma voisine elle perd un peu la tête et je l'ai laissée seule là-dedans, et y a la gazinière … et je sais pas, est-ce qu'elle va bien ? ... Tu sais si elle va bien? » tu jettes un œil sur l'immeuble, et t'espère vraiment mais vraiment que Suela va bien. Et l'instant d'après t'es soulagée que ta fille sois sortie avec ses amis. Sauf que maintenant, tu te rappelles qu'aaron est a côté de toi, et que ta fille aurait pu être ici, qu'elle pourrait meme revenir si elle entend parler de l'incendie. Tu sais plus si tu dois te réjouir de revoir – enfin – aaron ou prier pour qu'il s'en aille vite : ce terrain n'est pas assez neutre. « tout le monde s'en est sorti? » tu demandes pour combler la petite panique qui te monte au nez, mais quand tu poses ton regard sur lui tu peux pas t'empêcher de sourire un peu, à le voir comme ça – le voir tout court, déjà – mais aussi couvert de suie, dégageant une forte odeur de feu de bois. « ça te change du costume, on dirait un sauvage. » les traces noirs sur son visage, bien loin des costards et du rasage impeccable qu'il devait afficher dans son ancien métier. Bien loin du garçon – jeune homme – que tu avais recroisé à Boston. « oh mon dieu, et tu sens comme le poulet rôti trop cuit de suela. » tu éclates de rire, malgré toi. c'est définitivement un rire nerveux, tu t'inquiète pour suela, tu t'inquiète pour les flammes, ton appartement, tu t'inquiètes pour ta fille, ajouté à ça le stress de te retrouver face à l'amour de ta vie, tu contrôles plus ton éclat de folie, tu continues de rire les larmes aux yeux sans faire attention aux regards consternés de certaines personnes dans la rue. T'as presque plus de souffle quand tu parviens enfin a te calmer, essuyant tes yeux. « excuse-moi, je sais pas ce qu'il m'arrive. »
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